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Lueur d'Existence
Que suis-je sur cette Terre
Accroché au fil du temps, un éphémère
Un trait, une nuance, une fragrance ?Et dans cet atmosphère
Où l'ombre et la lumière se font souvent la guerre
Suis-je une particule, un neurone en fusion ?Que suis-je dans cet univers ?
Un être de lumière venu d'autres sphères
Pour éclairer les âmes en manque d'air ?Dans mon léger sillage
Peut-être trouverez vous
Ce manque, cette envie, un message...Dans la poussière d'un voile opalin
Accrochée à mon destin
L'étoile éternelle brille d'un désir divin !Evidence d'un silence en légère confidence
Dans la nuance de nos existences
Confiance ...•⊰✿~•
LD © Elea Laureen
Tous droits réservés
DPP 9207-47431Support ; Anna Razumovskaya
Tags : Poésie, Poetry, Etoile, Sensibilité, Poussière, Existence, Nuance, Lumière, Âmes, BlogLittéraire, EleaLaureen, ArtLittéraire, PoésieSensitive
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Commentaires
Bonjour ma Lou
un beau poème qui pose une question essentielle.
Qui somme-nous ?
Des hommes et des femmes, de passage invité sur terre, en être de lumière où ange mi demon, entre l'ombre et la lumière qui deviendra poussière, seule l'âme voyagera éternelle dans l'univers cosmique.
Doucejournée, je t'embrasse
Prends soin de toi
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Dimanche 3 Juillet 2022 à 19:24
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Dimanche 10 Juillet 2022 à 12:59
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Bonsoir et merci pour tes passages si doux dans mon univers.
Comment répondre à une poétesse autrement qu'en poésie :
Insignifiance (27/09/2010)
(extrait de mon recueil : "De la source à la mer")
Je regarde le ciel semé de tant d’étoiles
Que même le plus grand des mathématiciens
Ne peut les dénombrer. Je regarde les voiles
De brumes impalpables que tend le matin…
Qui peut dire combien de gouttes minuscules
Finiront aspirées par le soleil levant ?
Et combien s’en iront, légères particules,
Se poser sur les fleurs, apportées par le vent?
Voyageuse éphémère, insignifiante chose,
Je suis moins qu’une étoile, moins que la rosée,
Moins que le vent qui souffle et bien moins qu’une rose
Petite graine humaine sur terre plantée.
Il parait que pourtant, je peux au moins penser
Mais que fais-je, ô oui que faisons-nous
De cette faculté, sinon la dépenser
À tête que veux-tu, comme des gamins fous?
Des gosses turbulents qui n’auraient pas compris
Que notre Terre immense, n’est dans l’Univers
Pas plus qu’un grain de sable au désert infini !
Alors que sommes-nous pour être à ce point fiers
De cette Humanité qui nous est dévolue ?
Sur une peau d’orange ainsi qu’il me fut dit,
Nous sommes moisissure, présence incongrue,
Microbes importuns, tout petits, si petits !
Je regarde le ciel semé de sable d’or,
En extase et le cœur empli d’humilité.
Qui dois-je donc prier pour avoir droit encore
De vivre, être pensant, dans cette immensité ?
©A-M Lejeune
Bisous aussi doux que tu sembles être douce
An'Maï
Bonjour ma chère Anne-Marie,
Quel joli cadeau que cette poésie
En retour à la mienne ...
Tu es ! Chère poétesse, cette âme lumineuse et aérienne
Qui a très bien saisi
Que même si tu n'es "rien" qu'une poussière d'étoiles,
Tu peux lever le voile
Sur les êtres que nous sommes
Et éclairer les hommes
De ce cœur bienveillant et cette douce flamme
Qui illumine la toile
Tu portes la lumière, fais toi confiance
Sur les chemins de l'espérance
Tu rayonnes et attires les éphémères
Qui doutent encore sur cette terre ...
Ne te pose pas de question
Suis ta destinée, suis ta mission !
© Elea Laureen
Gros bisous belle âme, passe une très douce fin de journée
et prends bien de toi ma chère Anne-Marie
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Bonsoir ma chère et tendre Françoise,
Nous, poussière d'étoiles, êtres de lumière,
Sommes sur cette terre pour semer l'amour et partager
Avec douceur et bienveillance ce que nous savons
De cette flamme qui nous guide et diffuser cette lumière
Par delà les frontières, laissant fleurer l'espoir
Là où il est s'est éteint et sur le fil qui nous unit
Nous essayons d'y rallier chaque petite âme
désireuse de venir butiner avec nous
Jusqu'à ce que la source nous rappelle !
Merci à toi d'avoir aimé et commenté si délicatement
Cette poésie ! Gros bisous, Lou